À l’occasion de la célébration du Journée Mondiale du Terre, l’Association des Femmes pour la Paix dans le Monde a réuni huit panélistes : Ángeles Parra, José Luis Barceló, María Jesús Sanz, Manuel Martinez Egea, Beatriz Ochotorena, Marcia de Abreu et moderé par Sara Marchán, de l’Association des Femmes pour la Paix dans le Monde.
D’abord, Ángeles Parra García, directrice de BioCultura, présidente de l’Asociación Vida Sana et directrice du festival écologique des enfants MamaTerra, a promu la production écologique pour préserver la planète et la santé. Grâce à la production écologique, la biodiversité et les écosystèmes sont préservés et favorisés. Ángeles a montré aussi comment la production biologique par les producteurs, les distributeurs ou les consommateurs peuvent parvenir à un monde plus durable.
D’autre part, José Luis Barceló, directeur du monde financier, a également mentionné le grand impact de la consommation humaine sur la planète, et a montré quelques stratégies pour prendre soin de la planète dans le processus d’urbanisation et de dépeuplement dans autres régions. Il a exhorté la recherche d’un modèle de développement de la croissance viable dans les pays développés comme dans pays en développement.
María Jesús Sanz, directrice des relations institutionnelles ECODES, a expliqué le projet « Des arbres pour le climat », et comment par la simple action de planter un arbre un changement peut être réalisé et comment les citoyens et la société peuvent aider vers la protection de la biodiversité. Avec ce projet, ils ont proposé de rendre visible la plantation de 3 millions d’arbres pour montrer tout ce que les arbres apportent.
Une autre initiative proposée par Manuel Martínez Egea à travers sa plateforme AIVEIaI est le retour de l’inspiration pour lutter contre la concentration dans les grandes villes. Il cherche aussi le retour du capital social à travers des positions sociales et de l’éducation, il cherche le retour du capital naturel pour récupérer la biodiversité, pour récupérer la qualité des sols et de l’eau et, enfin, le retour du capital financier à travers l’agriculture.
Beatriz Ochotorena, fondatrice de la Fondation Ultzama, promeut les zones rurales à travers sa fondation, et à travers de sa ferme et son école de slow-food, elle a promu la culture et l’éducation gastronomique dans ces domaines, de la connaissance du processus du lait au processus de création du fromage pour valoriser l’importance du secteur primaire et d’optimiser l’utilisation des matières premières.
Du secteur de la mode, Marcia de Abreu, présidente de l’Association mondiale des femmes pour la paix, a terminé la discussion en parlant du projet Giving For Food, une initiative basée sur la mode circulaire. Ce projet consiste à s’appuyer sur les énergies renouvelables, en éliminant les déchets et la pollution de la conception à la fabrication. Il préconise également la réutilisation pour réduire la quantité de déchets afin de protéger la biodiversité et recherche une production durable utilisant des ressources renouvelables.
À travers de tous ces projets et initiatives publics et privés dans différents domaines, un mode de vie plus sain et plus durable est recherché, tout en cherchant à sensibiliser la population et à créer une prise de conscience de l’environnement.
Carolina Sánchez Caminal, Stagiaire.
Paix et Coopération